Du respect en bouche, des intentions à la louche,
mais l’alerte, l’interaction, le nerf de ta guerre sur quoi ça débouche ?
Ex-nihilo, grands fracas petit fatras… fraticide… rime avec putride…
La dette des maux, le choc sans les photos…

Revoir et renaitre, absoudre sans le reconnaitre, espèrer tel un chien [a]battu,
décati ploc ploc et plus encore…. Je ne souhaite pas le 1/4 du 10eme à mon chien que je n’ai pas.. Attendre…

Prétendre…

Un psy se brûle la gorge chaude de ces histoires… mon petit sac à [em]merdes
mon cv dans le sac à lots, un génie l’arriviste à 60 keusse la consult’
Et toi, tu reviens de nulle part… On va dire que tu t’étais volontairement égaré dans le temps qui passera, par fierté trou d’balle… 

Epitaphe façon “qui m’aime m’dérive”…

Il est vrai que je n’ai pas pu, pas pu comprendre. En fait je n’ai pas voulu attendre que les maux, suintent, la rime des bulles avec le recul…
En avant toutes donc, les relations, les possibles, les inimités, l’aspérité de ta N,
l’interface du Q, le z de zigomatiques…
Fouchtras alphabétique qui te fait mélanger les lettres et les connes sonnent…
Ta gramme mère n’est plus, celle du défi du nom.

L’état civil, acte agile qui entre dates, est un uppercut historique,
emprunt d’amour, grasse parenté, qui ne peut être qu’imposé…
Tu as du mal à digérer, tu voudrais l’organigramme bousiller…
bouffe la pomme, coupe l’arbre généalogique,
rationnel :  fais parler ta douleur ?

S ta N vient de là, pour les autres elle ne peut qu’être futile, opportune, débile…
je tenterai : trop facile ? sournoisement confortable, trop, “trop tranquille” ?
Refais le rêve, primal cream, aboiement ou bêlement, choisi ton gêne,
pleures sans laines… dégonfle et comprends ce qui te pèse…

Verso/recto, tout à 2 faces….

Planches à billets, la vie défile… Aimable sans son orchestre
Du coup des fois on tiens à tous les rôles :
la pleureuse qui n’en peut plus de se vider, peine à la trouver, sans armes,
le fêlé qui rêve de tout pêté pourvu qu’ça swingue…
L’alter pas encore pater qui a des valeurs, heureusement la noyade dans le cul,
d’une bouteille c’est pas facile,  valeurs valables à toutes heures,
qui entre deux diatribes géniales, chassent les aliens dans son 3 pièces….


“M’sieur le juge, le coup du doigt dans le beurre, ça compte pas… c’est pas moi et ça c’est dans le décompte !”

Du coup dans mon désordre intérieur il y a tout cela, tel un sac à dos trop lourd… et pire encore… Il y manque la chaleur de mon frêre et mes soeurs… coeur cachalot… cela rime avec vieux vélo, mais suinte la technique du bottage en touche !

Je suis l’ainé d’une fratrie devenue théorique ?
Le plus fort c’est pas les zéros du film de ma famille : mais le temps qui passe inéluctablement… chacun derrière son sac de sable, a éviter les balles perdues et essayer de gêrer les coups portés, les coups tordus, les riens du tout, ou croit-ils, croix thons …

A chacun son aimant, son bilan… entre temps… tu n’es tu mords…